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Du 17e siècle à la révolution
En 1607 s’ouvrent de nouvelles grandes carrières à SAINT MAXIMIN. Mais il faut attendre la fin de la guerre de 30 ans (1606 – 1636) et l’arrivée de LOUIS XIV et de l’époque « classique » (1650 – 1750), pour voir la quatrième vague d’utilisation de la pierre de Saint-Maximin et de Saint-Leu dans la construction des monuments de PARIS : le Louvre, les Invalides, le Palais Bourbon, l’hôtel de Lassais, l’hôtel d’Evreux, l’école militaire, la place de la Concorde, et autres…Versailles.
Les carrières parisiennes ne peuvent plus fournir une quantité suffisante de pierres pour alimenter ces grands chantiers, et les architectes ont une nette préférence pour le calcaire de la vallée de l’Oise, tendre, facile à travailler et donnant des hauteurs d’assises plus grandes.
En 1678, l’Inventaire-des-Carrières commandé par Colbert, constate que toutes les carrières de Trossy, Saint-Maximin et Saint-Leu sont souterraines.
En 1744 réapparaissent les premières extractions à ciel ouvert, sur les coteaux